Fredelion

- Rendez-vous pour la seconde édition en 2023

En aparté
Exposition photographique du 16 juin au 2 juillet 2022 dans les agences du groupe Fredélion immobilier

- En Aparté

Le 16 juin 2022, nous avons lancé la première édition de « En aparté », une exposition photographique sur le thème « de ma fenêtre ».

Imaginé dans une vocation de partage, d’ouverture et de convivialité par les fondateurs de Fredélion, « En aparté » reflète la façon dynamique et engagée dont nous concevons notre métier.

Cet évènement a réuni 10 photographes qui se sont emparés du motif « de ma fenêtre » pour proposer leur vision du monde dans nos 13 agences immobilières à Paris et Neuilly-sur-Seine.

Suite au succès rencontré et aux nombreux remerciements de nos clients, nous lancerons la seconde édition à coup sûr.

Le groupe immobilier Fredēlion.

- Les photographes présentés dans nos agences

Voir l'artiste >
Siouzie Albiach
Siouzie Albiach
Voir l'artiste >
Letizia Le Fur
Letizia Le Fur
Voir l'artiste >
Sandra Matamoros
Sandra Matamoros
Voir l'artiste >
André Mérian
André Mérian
Voir l'artiste >
Richard Pak
Richard Pak
Voir l'artiste >
Charlotte 4B
Charlotte 4B
Voir l'artiste >
Philippe Poitevin
Philippe Poitevin
Voir l'artiste >
Julie Poncet
Julie Poncet
Voir l'artiste >
Isabelle Scotta
Isabelle Scotta
Voir l'artiste >
Frederic Stucin
Frederic Stucin

Siouzie Albiach

Retrouvez sa série
« On the Edge »
du 16 juin au 2 juillet 2022

On The Edge est une série photographique réalisée entre 2018 et 2019 au Japon, dans les alentours de Kyoto. En parcourant les montagnes et les villages environnants, Siouzie Albiach a photographié des ambiances ambiguës et des paysages évidés.

Elle s’est aventurée en périphérie de la ville pour découvrir des zones d’ombre, aller vers des lieux qui se donnaient plus difficilement à voir. Se produisent alors des va-et-vient entre ce qui semble maîtrisé dans l’image et ce qui nous échappe.

On The Edge est un regard sur un territoire, mais aussi une lecture sensible et personnelle du Japon. C’est une série qui interroge nos rapports à des lieux et à des moments en suspens, c’est un ensemble d’images et d’histoires qui s’inscrivent dans une temporalité́ qui dure et s’étend.

scrolltop
Siouzie Albiach

Letizia Le Fur

Retrouvez sa série
« Les échappées »
du 16 juin au 2 juillet 2022

Gaston Bachelard, dans La poétique de l’espace, décrit la fenêtre comme la frontière entre l’en-deçà et l’au-delà, un objet transitionnel du dedans-dehors. Motif récurrent dans l’histoire de l’art, l’extérieur apparaît communément sous la forme d’un tableau ou d’un cadre.

A l’instar des peintres flamands, et plus tard des surréalistes, pour qui la fenêtre est le lieu d’apparition d’une image, Letizia Le Fur pose la question du réel et de l’illusion.

Plus habitués à nos fenêtres d’ordinateur, elles constituent avant tout une formidable ouverture vers l’imaginaire et donnent autant accès au monde extérieur qu’elles permettent à celui-ci de pénétrer à l’intérieur, dans l’intimité de la sphère domestique.

Dans cette série, les photographies sont faites du point de vue d’un personnage placé devant une fenêtre et le motif principal est le paysage qui lui fait face. Le peu d’indices révélés du lieu depuis lequel la photographie a été prise en regard de l’importance donnée au paysage crée une ellipse formelle, topos de l’imaginaire du « regardeur ». Les paysages photographiés sont réels, parfois légèrement transformés ou encore totalement fabriqués. En composant ces scènes imaginaires l’artiste souhaite alimenter une réflexion sur la représentation tant de la beauté que d’un ailleurs fantasmé.

scrolltop
Letizia Le Fur

Sandra Matamoros

Retrouvez sa série
« Mémoires du futur »
du 16 juin au 2 juillet 2022

Dans sa nouvelle série “Mémoires du futur” Sandra Matamoros propose d’ouvrir notre perception à ce qui n’est pas mais pourrait être.

Il s’agit de montages combinant plusieurs photos dont le mix offre une nouvelle réalité possible.

C’est une invitation à laisser son imagination s’épancher vers des paysages fantasmés dans l’intimité de notre futur souhaité.

En même temps que notre monde tel que nous le connaissons devient incertain, s’offre à nous une occasion sans précédent d’imaginer un futur décloisonné de toute référence, et donc sans limites. “Mémoire du futur” tente d’en dessiner des contours.

scrolltop
Sandra Matamoros

André Mérian

Retrouvez sa série
« Nevermind »
du 16 juin au 2 juillet 2022

Quoi de plus commun que de photographier à partir du point de vue d’une fenêtre ? Cet ensemble d’images nous interroge sur cette question.

Des livres posés sur une table face à une fenêtre dont le rideau translucide laisse apparaître des éléments urbains, une passerelle routière, une architecture froide voire glaciale confrontée au calme de la mer méditerranée, des papiers peints fantaisie représentant des vues d’un ciel nuageux, un faux coucher de soleil comme décor, une image pratiquement en noir et blanc où on a l’impression de se retrouver face à une forme de vitrail éclairé par la lumière du jour, un paysage rugueux fermé par une architecture en béton surgissant d’un mur monochrome bleu.

Ces captations photographiques répondent à des constructions rigoureuses qui contredisent le détachement suggéré par le titre de la série « NEVERMIND », et contribuent ainsi à rendre sensible la force du réel. Par les points de vue et les cadrages, elles privilégient le dépouillement formel, le réductionnisme et la neutralité. Si l’enjeu est d’énoncer et de dénoncer la dislocation d’un monde, il est aussi de signifier son effondrement sans exposer la ruine, comme un phénomène de rupture entre l’homme et son environnement.

scrolltop
André Mérian

Richard Pak

Retrouvez sa série
« À bout de souffle »
du 16 juin au 2 juillet 2022

« La Bourboule. Avant d’y débarquer le nom me paraissait aussi incongru que familier. Ceux avec qui j’échangeais évoquaient un truc aux contours confus et incertains mais assurément d’une autre époque. Un endroit un peu mythique, voire carrément imaginaire, où l’on envoyait les enfants se faire soigner des maladies des grandes villes. La-bour-boule. Comme un nom inventé pour leur faire avaler plus facilement la pilule, celui d’un vieux cirque ambulant ou d’un jeu d’antan. »

Jusqu’à ses quelques habitants pour qui le présent semble se conjuguer au passé. Alors c’est le temps  – ses effets, sa perception – que Richard Pak a tenté de photographier. Des portraits de jeunes adultes, que l’on devine derrière un écran de buée, évoquent tant un avenir qui prend forme qu’une jeunesse que l’on oublie, jusqu’à ne laisser qu’un vague souvenir. Des vues de la ville fatiguée, avec le même procédé vaporeux, inventorie les lieux et signes d’une grandeur délavée.

La station thermale connue pour traiter les afflictions respiratoires est une ville d’eau. C’est assez naturellement qu’il a choisi d’intégrer cet élément dans son processus de création en rephotographiant après les prises de vue les tirages collés derrière une vitre embuée.

scrolltop
Richard Pak

Charlotte 4B

Retrouvez sa série
« Réalités parallèles »
du 16 juin au 2 juillet 2022

Durant le tiers de sa vie passé à l’étranger, son travail d’intégration à répétition, d’apprivoisement des cultures, de compréhension des problématiques et nationalismes locaux, l’a amenée naturellement à s’interroger sur la relativité de la réalité :  les filtres que nous imposent nos connaissances, nos cultures, nos langues, notre éducation… comme autant de couches superposées qui influencent notre manière de percevoir la réalité et d’appréhender le monde.

Elle a choisi d’illustrer ses réflexions par le biais de la thématique de la fenêtre : à la fois frontière physique entre l’intérieur et l’extérieur, et limite philosophique entre le connu et l’inconnu, le visible et l’invisible, ce qu’on voit et ce qu’on ressent. La fenêtre est sensée nous apporter une ouverture objective sur ce qui s’y trouve derrière, et la clarté du verre donne l’illusion de pouvoir y voir à travers.

Et pourtant, si l’on y prête suffisamment attention, le verre apporte toujours une altération sur l’image qu’il révèle, exactement comme le font les filtres de nos frontières intérieures sur la réalité. L’image qui se trouve derrière la fenêtre est donc sans cesse renouvelée, multiforme et subjective, reflétant plusieurs réalités éphémères qui se composent et se déforment à l’infini.

scrolltop
Charlotte 4B

Philippe Poitevin

Retrouvez sa série
« Henrichemont » et « Lost in translation »
du 16 juin au 2 juillet 2022

« Henrichemont »

Installé depuis 1 an à Henrichemont, Philippe Poitevin multiplie les clichés de  son village et de sa maison afin de les apprivoiser et de les convaincre de bien vouloir l’accepter.

Il poursuit chaque ruelle, chaque maison, chaque recoin. Un faisceau de lumière qui entre ici et une ombre qui se dépose là. Il photographie à la tombée de la nuit ou au lever du soleil, dans cet entre-deux entre chien et loup énigmatique où l’imaginaire peut se déployer. Des instants dérobés qui interpellent ou surprennent comme autant de prises de vue qui défilent sur une pellicule de film. Une façon de capter son environnement qu’il a acquis durant ces années passées comme décorateur de plateaux de tournage.

« Lost in translation »

Dans sa série « Lost in translation » Philippe Poitevin s’attache à capter les moments d’entre-deux, de  suspens ressentis dans les trains et les bateaux. Ces intermèdes, instants de flottement et d’abandon où le regard se penche du côté de la glace de la fenêtre dans la contemplation du paysage. Paysage incomplet, fugace et instable propice au vagabondage et aux rêveries.

scrolltop
Philippe Poitevin

Julie Poncet

Retrouvez sa série
« Comme un poisson dans son bocal »
du 16 juin au 2 juillet 2022

« Comme un poisson dans son bocal » est une série d’autoportraits réalisés dans des lieux abandonnés, une discipline photographique appelée : urbex (exploration urbaine).

La série met en scène une femme qui se retrouve comme un bibelot oublié dans ces lieux abandonnés. À l’instar du poisson rouge, celle-ci n’est pas à l’aise dans son environnement, elle est repliée sur elle-même, niant le monde qui l’entoure, refusant la décrépitude qui l’envahit. Elle n’est plus qu’une petite tache rouge au milieu de ces murs tapissés, un élément décoratif inanimé. Un écho au ressenti des personnes souffrant d’éco-anxiété dans un monde en plein déclin écologique et climatique.

scrolltop
Julie Poncet

Isabelle Scotta

Retrouvez sa série
« Tropicalism » et « Indoors »
du 16 juin au 2 juillet 2022

« Tropicalism »

Royan est un exemple de ville rebâtie sur les ruines de la guerre, redessinée sur le modèle architectural brésilien des années 40, le tropicalisme. Détruite dans sa quasi-totalité, il a fallu réinventer rapidement la ville, la rêver différemment et repenser un monde moderne.

Cette série réalisée la nuit fait ressortir cette projection architecturale et futuriste des années 50 dans laquelle les hommes semblent avoir déserté les rues, laissant pour seul paysage les vestiges d’un vieux rêve.

C’est par l’imaginaire que les hommes s’arrachent au réel, se réinventent et refont l’Histoire.

« Indoors »

La série Indoors est un parcours mémoriel fait de paysages et d’éléments familiers qui interrogent sur la façon dont nous vivons le territoire.

L’Homme est un créateur d’espaces, il s’approprie un paysage, délimite un périmètre, le rêve et l’imagine, y construit ses objets, sa maison, son décor. Quand il s’efface, il reste ce qu’il a bâti de ses mains, ce qu’il a modelé, ciselé et la genèse de récits historiques ou imaginaires pour ceux qui restent. De la fenêtre de la maison familiale, l’immobilité et le silence rayonnent pour défaire les éléments de leur matérialité et leur donner une présence propre. Chaque image devient un indice, une fiction, un souvenir, l’amorce d’un nouveau conte.

scrolltop
Isabelle Scotta

Frederic Stucin

Retrouvez sa série
« Le décor »
du 16 juin au 2 juillet 2022

Frédéric Stucin nous plonge dans des atmosphères nocturnes énigmatiques créées de toutes pièces, dans un procédé proche de celui de la nuit américaine pour le cinéma.

Il photographie en journée, toujours avant la tombée de la nuit, et dissimule dans le décor des éclairages qui donnent aux lieux qu’il visite l’apparence de studios photographiques ou de plateaux de tournage.

Dans sa série Le décor il a capturé les rues de la capitale vidée de ses habitants en 2020.

Il photographie un Paris désertique, devenu « un décor, le gigantesque plateau d’un tournage suspendu », selon ses propres mots. On suit, de loin en loin, quelques rares personnages anonymes qui marchent d’un pas pressé dans cette atmosphère crépusculaire.

scrolltop
Frederic Stucin
- Restons en contact
Suivez-nous sur les réseaux sociaux